Page:Girard - Marie Calumet, 1904.djvu/239

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XIV

dites tout c’que voudrez, vous m’ferez jamais accreire que j’sus une fille à marier.


À frotter ainsi les tempes de celle qu’il portait dans son cœur, à la frôler de si près, Narcisse se sentit peu à peu envahi par un étrange bien-être.

Il eut poursuivi longtemps cette opération agréable, si Marie Calumet n’eût rouvert les yeux en laissant échapper comme un souffle de ses lèvres bleuies par la souffrance :