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MARIE CALUMET.

qui lui aussi, quelques années avant Narcisse, avait voulu commettre cette bêtise.

L’infortuné, d’un autre côté, sentait bien que tous ces gens-là avaient raison, et c’était pour lui une nouvelle cause d’affliction.

Comment une fille aussi intelligente que Marie Calumet pouvait-elle agir de la sorte ?

Voilà ce que se demandait Narcisse.

Pour étrenner son ballon, la ménagère de monsieur le curé avait résolu d’attendre une occasion exceptionnelle, une fête à laquelle tout Saint-Ildefonse assisterait.

Elle n’aurait pu mieux trouver.

Celle-ci, par un de ces caprices d’esprit que l’on a rencontré, certes, chez