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MARIE CALUMET.

— Un cochon d’un poids raisonnable, continua le curé.

— M’sieu le curé, vous y pensez pas !

« Un cochon raisonnable, griffonna le notaire.

— Une truie bonne pour la fécondation.

— M’sieu le curé !

Le notaire, sans s’occuper des exclamations réitérées de la donataire, répéta après le curé :

« Une truie qui rapporte.

— Douze poules.

— M’sieu le curé, vous êtes après vous ruiner ! se récria la future mariée.

— Êtes-vous contents mes enfants ?

— Ah ! m’sieu le curé !

— C’est tout ? demanda Maître Ménard.