Aller au contenu

Page:Girard - Marie Calumet, 1904.djvu/382

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

XX

la vengeance d’un bedeau.


Pour la première fois, depuis la fondation du presbytère, des réjouissances profanes remuaient le recueillement de ces saints lieux. Le siècle, avec ses frivolités, infectait l’air ambiant de calme et de vertu, qui anisait toutes les pièces de la maison.

Des noces au presbytère ! Jamais mots ne furent moins faits pour être