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Page:Girard - Marie Calumet, 1904.djvu/396

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MARIE CALUMET.

L’herbe tendre,… l’occasion,… enfin, que sais-je, l’amour aidant, le jeune homme n’y tint plus. Il poigna Suzon à pleines mains en l’embrassant.

— Tu m’fais mal ! dit-elle, tout bas, en lui rendant son baiser.

Gustave s’échauffait. Il devenait téméraire et il fallait… lorsque le curé Lefranc, qui avait accepté l’invitation de son ami, parut dans la pièce. C’est qu’il avait un flair de chien de chasse le curé Lefranc.

— Où ai-je mis mon bréviaire ? où ai-je donc mis mon bréviaire ?

Puis tournant tout à coup la tête :

— Oh !

— Ah !

— Oh !

— Ne vous gênez pas mes amis, ne