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LA CANNE


DE


M. DE BALZAC




I

UN DON FATAL


Il est un malheur que personne ne plaint, un danger que personne ne craint, un fléau que personne n’évite ; ce fléau, à dire vrai, n’est contagieux que d’une manière, par l’hérédité — et encore n’est-il que d’une succession bien incertaine, — n’importe, c’est un fléau, une fatalité qui vous poursuit toujours, à toute heure de votre vie, un obstacle à toute chose — non pas