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Et soudain les cierges sans nombre,
Déchirant le soir expiré,
Saignent sur l’autel illustré,
Comme les blessures de l’Ombre,
Dans l’église odorante et sombre.
Et soudain les cierges sans nombre,
Déchirant le soir expiré,
Saignent sur l’autel illustré,
Comme les blessures de l’Ombre,
Dans l’église odorante et sombre.