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Les beaux vers sont de larges croix
Où saignent les rouges poètes,
Aveuglés par les gypaètes
Qui volent comme des effrois.
Aux glaives les cadavres froids
Ont offert d’écarlates fêtes :
Les beaux vers sont de larges croix
Où saignent les rouges poètes.