Page:Giraud - Héros et Pierrots, 1898.djvu/261

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DEUXIÈME ABBÉ Est-ce un assassinat ?

CASSANDRE

O mon pauvre miroir !

MEZZETIN Que s’est-il donc passé ?…

ARLEQUIN (triomphant)

Pierrot, fou de se voir
De trop près dans la glace, a baisé son image !
Et voilà, mes amis, d’où vient tout ce tapage ! <J V

TROISIÈME ABBÉ
Donnez-lui donc à boire : il me paraît souffrant !

CASSANDRE (solennel)

Et voilà ce que c’est que d’être indifférent
Aux choses de l’Etat !

ELIANE
Au charme d’une oeillade ! ’