Page:Giraud - Héros et Pierrots, 1898.djvu/47

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Seigneur ! l’horloge est vieille et lasse, elle se pleure ;
Elle a sonné la vie implacable : c’est l’heure
Du silence définitif et mérité.

Elle souffre : ayez la douceur d’être féroce !
Arrachez-lui le cœur, et cette peur atroce
De vivre de sa mort durant l’éternité !