Page:Giraud - Héros et Pierrots, 1898.djvu/78

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ÉPILOGUE

Pauvres yeux douloureux, fatigués par les veilles,
Usés par leur folie et rougis par les pleurs,
Dont les jeunes rayons, comme un essaim d’abeilles,
Jadis de fleur en fleur se gorgeaient de couleurs ;

Miroirs éblouissants de ces fêtes étranges
Où le sang répandu se mêle aux vins cruels,
Qui gardez dans vos eaux le sourire des anges
Vaincus par la beauté des démons sensuels ;