Page:Giraud - Hors du siècle, 1897.djvu/68

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et le cœur embrasé par le monde qu’il porte,
Il contemple à son tour ces spectres mensongers,
Et sans les reconnaître — hélas ! la vie est morte ! —
Se réveille en sursaut parmi des étrangers.