Page:Giraudoux - Provinciales.djvu/104

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pérément : puis par les yeux de Mistress Arline, si tièdes et si brillants qu’on redoute d’y voir fondre la prunelle. Ayons du bon temps. Ne nous retournons pas. Ce ne peut être celle d’Estelle, cette tête sans cheveux, qui me sourit, là-bas, de la lucarne grillée, puis qui pleurniche, de n’avoir plus à me sourire.