Page:Giroust - Illyrine - t3.pdf/21

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tu l’as vu, il a agité tes sens ; c’est bien heureux que tu ayes bien voulu, un instant, les détourner de dessus ton idole, pour les porter sur le plus bel être ; tiens, je voudrais, pour t’apprendre, qu’il ne t’aimât plus. Oui, Ste.-Amaranthe est sa maîtresse par excellence ; c’est elle qui est sa sultane favorite, mais son sérail est nombreux ! Lili, quand donc en feras-tu partie ? c’est pour le bien que je te veux que je fais ce souhait ! adieu, Lili ; j’ignore encore quand je retournerai à Paris. Je suis toujours l’heureuse madame de W…


Ta Lise.