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À CAMILLE PELLETAN.
Je vous dédiais ce petit livre, mon
ami, il y a déjà un an. Il devait
prendre sa volée, en moineau
franc, gouailleur et joyeux, vers
les premiers jours d’octobre 1870. Le siège
de Paris, les sinistres événements qui ont
précédé et suivi la chute de la Commune,
ont retardé son apparition. Ce n’est plus
guère aujourd’hui qu’un volume rétrospectif
qui servira peut-être à l’historien des mazarinades
de la fin de l’empire. J’ai dû supprimer
quelques pièces qui, lestes et gaies au