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.264 Gilles et Pasquïns. Rouher. C’est que les dieux font fait venir au beau moment. Ollivier. Enfin j’ai rétabli notre ancien parlement. Rouher. S’il faut causer de ton… machin parlementaire, Je dois, quand de ceci chacun parle, m’en taire. Ollivier* y ai Piétripour moi… Rouher. Je l’eus, comme F aura Le ministre qui doit venir quand éclora L’aube du jour fait pour éclairer ta culbute. Ollivier. Ma culbute t Insensé ! prends garde : je me butte Où je suis, et ne crains ni balais ni leviers. Rouher. Cn souffle de mistral abat les oliviers. Ollivier. Porte tes calembours au Sénat, dont tu scalpes Les crânes, dènud* ^omme un sommet des Alpes. Rouher. Ton Corps législatif, quelque chose, vraiment !