Page:Glatigny - Œuvres, Lemerre.djvu/353

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294 Gilles et Pasquins. C’est Dréolle, fleur de V Empire. V aigle avec amour le respire Et tient sa tige dans son bec ; Les Nymphes, a la fraîche haleine De Drêolles ornant Silène, Charmaient le statuaire grec. Dans sa tranquille maison close, Alphonse Karr, songeur, l’arrose. « Versons ce Dréolle en ce vin, En ce bon vin versons Dréolle ! y S’écrie, en son ivresse folle, Ronsard, notre maître divin. Et, penchés sur une cornue Où pleure V essence ingénue De cette autre fraise des bois, Schneider et le baron Jérôme David en dégagent un baume Dont s’oindra Clément Duvernois ! Bcaumesnil, août 1870.