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Page:Glatigny - Œuvres, Lemerre.djvu/366

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A Madame la Marquise de Z… 307 Tu livres tout ton cœur au chef-d’œuvre immortel, Et, dans ces derniers temps n’ayant vu rien de tel, Le peuple accourt et prend, pour couronner ta tête, Des feuilles aux lauriers de l auguste poète / Paris, février 1870. XXIV A Madame la Marquise de Z. Enfin, marquise, les gazettes Annoncent votre engagement. Le fait est accompli, vous êtes Comédienne. C’est charmant. En vain vos ancêtres maussades Grognent au fond de leurs tombeaux, Vous les renvoyez aux croisades Pour venir avec les cabots. Rien ne put empêcher, madame, Que votre petit pied glissât Sur les planches ; mais, â mon âme ! Il faut lâcher le marquisat.