Page:Glatigny - Joyeusetés galantes et autres, 1884.djvu/100

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Mère abondante et forte, ô mamelle pétrie
Par la bouche de tous nos appétits goulus ;

Je t’ai vue, et j’ai vu tes églises chrétiennes
Exhaler lentement leurs paisibles antiennes
Dont les échos, depuis Viviane incertains,

Répètent vaguement les notes étouffées…
Maintenant, ô pays des Follets et des Fées,
Bretagne, fais-moi voir le cul de tes putains !