Page:Glatigny - Joyeusetés galantes et autres, 1884.djvu/104

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Que son dos où, parfois, l’or du soleil s’accroche,
Brille nacré de reflets verts[1] ! „

Ayant dit, Mirecourt s’éteignit. Son disciple,
Cuirassé d’un aplomb remarquable et multiple,
Le Scholl aux regards effarés,
Le remplace partout, même en simple police,
Et, pantin qui s’exhibe et sort de la coulisse,
Danse au milieu des Gens tarés !


  1. M. Scholl publiait dans le Figaro les Amours de Théâtre, roman d’alcôve où, selon son habitude, il insultait les femmes qui l’avaient honoré de leurs bontés.

    Un officieux avisa madame Doche de la publication, en ajoutant : — Scholl vous y habille bien !

    — Laissez-le faire, répondit-elle, il ne m’habillera jamais autant que je l’ai habillé moi-même.