Page:Glatigny - Joyeusetés galantes et autres, 1884.djvu/113

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Montrer le frais attelage
De ton sein rose et charmant ?

Trousse tes jupes, ma fille,
Ouvre ton cul à l’amour ;
Tu vois bien que je godille…

Tes doigts d’aurore et de jour,
Encore imbibés de sperme,
Valent-ils ma pine ferme ?