Page:Glatigny - Joyeusetés galantes et autres, 1884.djvu/171

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De ce moyen et rappelle au coupable
Et sa conduite et l’acte abominable
Par un oubli si gracieux couvert.

Ne méprisez jamais la moindre cause
Pour en venir, mesdames, à vos fins.
Ce récit prouve aux esprits superfins
Que la vérole est bonne à quelque chose.