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V

— « Emmenez ce chien, et asseyez-le où vous savez ! » dit le capitan-pacha.

Les chefs des eunuques, Abou-Gastrah et San-Kouyoku, bondirent comme des tigres vers Corbineau ; mais l’un d’eux s’étant embarrassé dans ses jupes battantes, celui-ci profita de l’occaz pour risquer un œil sous les vêtements de l’esclave. Il vit deux cuisses maigres et pelées, et quelque chose de flasque, au milieu, qui pendait.

— « J’ai vu de fiers clitoris dans ma vie, dit le maréchal des logis Corbineau, en se tortillant négligemment la moustache, mais c’est égal, je suis esbrrrrrouffé ! ! ! ! !»

.....Le vent soufflait dans les orangers, et il sentait bon.

VI

Sur la place publique se dressait une longue tige de fer, en manière de paratonnerre ; on l’aimanta de Corbineau.

Quand la pointe entra, il fit la grimace…

Quand elle sortit, il cria : « Nom de Dieu ! » et tourna la tête pour voir…

Eunuques et icoglans avaient disparu.