Page:Glatigny - Joyeusetés galantes et autres, 1884.djvu/38

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Sous tes âcres aisselles
De fauves étincelles
Font plus roux le gazon
De la toison ;

Et le torse sublime
Que plus rien ne comprime,
À jeté le corset
Qui le blessait !

II



Ô jeune Pandémie !
La luxure endormie
Se réveille en dressant
Son bras puissant.

Sur ta lèvre écarlate
Avec ivresse éclate
La superbe splendeur
De l’impudeur !