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Page:Glatigny - Joyeusetés galantes et autres, 1884.djvu/62

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Le regard curieux des fous extasiés
Qui, malgré votre époux, devinent votre race,

Saviez-vous qu’à l’écart, seul et vous contemplant,
Admirant votre bras superbe et nonchalant,
Qui posait sur le bord fané de votre loge,

Un poète lyrique aux ardeurs d’étalon,
Ivre, et ne sachant mieux formuler votre éloge,
Silencieusement mouillait son pantalon ?