Page:Glatigny - Joyeusetés galantes et autres, 1884.djvu/79

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Telles ses couilles putrides,
Dont les rides
Disent qu’elles ont vécu,
Quand il tend son ventre obèse,
Et le baise,
Doivent souffleter son cu.

Sa pine est flasque et mollasse,
Froide, et lasse
La patience des doigts ;
Quand tu tiens cette aubergine,
J’imagine
Le plaisir que tu lui dois.

Non ! pour notre amour passée,
Éclipsée,
Tu me verrais moins honteux,
Si je te savais un homme
Jeune et comme
N’est pas ce birbe piteux.

Fi ! cette moustache grise
Qui se grise
De cosmétique à dix sous !