Page:Glatigny - Le Fer rouge, 1870.djvu/48

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O France ! Entends chanter les voix libératrices ;
L’avenir est prochain qui, d’un doigt enchanté,
          Ferme tes nobles cicatrices
D’où jaillira pour tous la jeune liberté ;

Et si, que ce penser sur les lâches retombe !
On doit voir brusquement s’éteindre ton flambeau,
          O France ! Descends dans la tombe,
Et meurs libre ! Ton sort n’en sera pas moins beau !


5 octobre