Page:Glatigny - Le Fer rouge, 1870.djvu/74

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À Lahire, à Turenne, à Villars, à Marceau,
À ces vaillants de France, héroïque faisceau
De cœurs purs, de bras fort et de natures fières,
À tous ces fronts baignés d’éclatantes lumières,
À tous ces preux sans peur que la patrie en deuil
Montre encore à l’Europe avec un mâle orgueil,
À Bayard, à Kléber, à toute cette gloire
Dont les rayons divins éblouissent l’histoire,
L’empire maintenant oppose ses héros.
Comme la république, il a des généraux
Dignes de lui, roulant du grotesque à l’obscène :
Mac-Mahon à Sedan venant jouer la scène