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Page:Gloire à Marie, toute miséricordieuse, 1877.djvu/19

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ce qui ne serait pas pour sa gloire et la vôtre. Vierge sainte qui montrez si bien aujourd’hui votre puissance en m’accordant la guérison de mon corps, guérissez-moi du péché qui a si souvent accablé mon âme. O vous ma puissante Protectrice, vous qui, après Dieu, êtes ma consolation, et qui avez adouci mes peines, vous qui êtes la lumière de mon âme en me faisant voir mes iniquités, vous qui êtes ma force, mon trésor, ma joie, l’espérance de ma vie et de mon salut, vous m’avez dit : Tu es ma fille. Vous ne pouvez donc repousser mes prières. Daignez les exaucer et avoir compassion de moi, comme il convient à la Mère de Dieu qui a eu tant de bonté et d’amour pour les hommes. Il est leur Père, il vous a établi leur Mère. Puisque vous avez bien voulu me mettre au nombre de vos privilégiées, obtenez-moi de Dieu toutes les grâces nécessaires au salut de mon âme. Je vous promets, ma bonne Mère, de faire tout ce qui dépendra de moi pour me rendre digne de vos faveurs.

ESTELLE. »