Page:Gobineau - Adelaïde - 1914.djvu/24

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ont voué le culte le plus touchant et le plus efficace. Il craignait, selon sa propre expression, que ce conte " n’ajoutât pas un nouveau fleuron à la couronne de Gobineau. " Pourtant la renommée de cet esprit altier n’est plus à faire. Et il m’a semblé qu’il ne serait pas sans intérêt pour ses admirateurs de lire Adélaïde à titre de curiosité littéraire. Monsieur Scheman a bien voulu se rendre à ces raisons. Qu’il agrée, ici, mes remerciements les plus sincères.

André de Hevesy.