Page:Gobineau - Nouvelles asiatiques 1876.djvu/165

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soulever de leur place ; mais, à l’entrée de la caverne, désormais inondée de la lumière du jour, Kassem vit Amynèh, pâle, pantelante et qui lui tendait les bras. Il courut à elle, il l’embrassa, il la contempla ; c’était bien elle. Elle n’avait pas eu le courage de l’attendre. Elle avait marché après lui, elle l’avait suivi ; elle le retrouvait, elle le garda.


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