Page:Goethe-Nerval - Faust 1828.djvu/137

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vite. Je te félicite du nouveau genre de vie que tu viens d’embrasser.



Cave d’Auerbach, à Leipsig.

Écot de joyeux compagnons.


FROSCH.

Personne ne boit ! Personne ne rit ! Je vais vous apprendre à faire la mine ! Vous voilà aujourd’hui comme de la paille mouillée, vous qui ordinairement n’êtes que feu et flamme.

BRANDER.

Cest toi qui en es cause ; tu ne mets rien sur le tapis, pas une bêtise, pas une petite indécence !

FROSCH, lui verse un verre de vin sur la tête.

En voici des deux à la fois.