elle peut atteindre un jeune homme, elle ne le laisse pas échapper de si tôt.
En voilà deux assises, une vieille et une jeune : elles ont déjà sauté comme il faut.
Aujourd’hui, cela ne se donne aucun repos. On passe à une danse nouvelle ; viens maintenant, nous les prendrons.
Hier, un aimable mensonge
Me fit voir un jeune arbre en songe,
Deux beaux fruits semblaient y briller.
J’y montai : c’était un pommier.
Les deux pommes de votre rêve
Sont celles de notre mère Ève ;
Mais vous voyez que le destin
Les mit aussi dans mon jardin.
Hier, un dégoûtant mensonge
Me fit voir un vieil arbre en songe
Salut ! qu’il soit le bienvenu,
Le chevalier du pied cornu !
Maudites gens ! Qu’est-ce qui se passe entre vous ? Ne vous a-t-on pas instruits dès longtemps ? Jamais un esprit
- ↑ Il serait trop long d’expliquer les mille allusions qui se cachent sous les noms et dans le langage abstrait de ces personnages. Gœthe a fait dans toute cette portion de son livre, et notamment dans l’Inter-