Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome IV.djvu/413

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oubli ! Oh ! reconnais en toi la fille du dieu suprême ! Tu appartiens uniquement au premier âge du monde.

Un château ne doit pas t’enfermer dans ses murailles. Voisine de Sparte, l’Arcadie, pour nous offrir un délicieux séjour, fleurit encore dans une éternelle jeunesse.

Attirée dans cette heureuse retraite, tu t’es réfugiée au sein du bonheur le plus pur. Les trônes se changent en berceaux de feuillage : goûtons dans nntre bonheur la liberté d’Arcadie.