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Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome IV.djvu/71

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une bienveillante parole de congé ! Alors le vent enflera plus doucement nos voiles, et les pleurs couleront moins amers des yeux du voyageur. Adieu ! et, comme gage de notre ancienne amitié, donne-moi ta main !

THOAS.

Adieu !



FIN D’IPHIGÉNIE.