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Page:Gogol - Nouvelles choisies Hachette - Viardot, 1853.djvu/56

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mère, sauve ton pauvre enfant ! laisse tomber une larme sur ma tête malade ! vois comme on le tourmente ! oh ! serre sur ton cœur ton pauvre orphelin délaissé ! il n’a pas de place dans ce monde. On le persécute.... Ma mère, ma mère, prends pitié de moi .... À propos, savez-vous que le dey d’Alger a une verrue sur le nez ?


FIN DES MÉMOIRES D’UN FOU.