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Page:Gogol Chirol - Contes et nouvelles.djvu/62

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idée et que je l’apprenne… je ne trouverai pas de châtiment assez grand pour lui !

― Et si c’était moi ? dit involontairement Katerina, qui resta immobile de frayeur.

— Si tu t’en étais avisée, alors tu ne serais plus ma femme. Je te coudrais dans un sac, et je te jetterais au milieu même du Dniepr !

Katerina sentit sa tête tourner, et ses cheveux se dressèrent de terreur.