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L’ANCÊTRE
Il médite, chauffant sa canne en bois des îles
D’une paume épaisse, courbant
Dans cette solitude où son âge l’exile
Un front blanchi sous le turban.
Il se grille au soleil et, des heures entières,
Rêve en gilet à fleurs, en bas bleus, et je vois
Sur l’un de ses genoux luire entre ses gros doigts
Son mouchoir et sa tabatière.