Page:Gojon - Le Jardin des dieux.djvu/78

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Tu mêles au grelot des ânes poussiéreux
Un accent si profond, un air si douloureux
Qu’il faut que je résiste et que je me contienne,

Cependant que ta voix plus rauque s’élevant
Gémit, supplie, atteste et rend plus émouvant
Ce crépuscule où tinte une cloche chrétienne.