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Page:Goldoni - Les chefs d'oeuvres dramatiques, trad du Rivier, Tome I, 1801.djvu/118

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Comédie.

Bonfil.

Mais quelquefois aussi les fous en reviennent encore plus fous.

Artur.

Certainement le monde est un beau livre ; mais de quoi sert-il à celui qui ne sait pas lire ?

(Isac apporte le thé.)
Isac (à Bonfil.)

Monsieur.

Bonfil.

Qu’y a-t-il ?

Isac.

Mylord Curbrech et le chevalier Ernold désireroient yous saluer.

Bonfil.

Qu’ils entrent. (Isac sort.)

Artur.

Nous allons juger des progrès de notre voyageur.

Bonfil.

Ils se réduiront à bien peu de chose, s’il n’a pas acquis de la prudence.


Scène XV.

Les Mêmes, Mylord CURBRECH,
(Isac donne un siége et sort.)
Curbrech.


Mylord.

Bonfil.

Ah ! Mylord.

Artur.

Bonjour, mon ami.