Pauvre Paméla ! (Elle pleure.)
Vous pleurez, Madame ! qu’avez-vous donc ?
Ma chère Paméla, je ne puis vous voir nous quitter ; sans en verser des larmes amères.
J’espère que Madame ne trouvera pas mauvais que vous veniez quelquefois me voir.
Et vous, ne viendrez-vous donc plus ici ?
Non ; je n’y reviendrai pas.
Pourquoi donc, ma chère ; pourquoi ?
Je ne dois pas m’éloigner de ma Maîtresse.
Si tu me témoignes de l’attachement, je ne serai point ingrate à ton égard.
Je vous servirai, Madame, avec tout le zèle dont je suis capable.
Allons, Paméla, partons. Madame Jeffre te fera tenir tes habits et ton linge.
Je suis prête à obéir. (À part.) Hélas ! (Elle pleure.)
Tu pleures, mon enfant !
Madame Jeffre, je vous remercie de toutes les bontés que vous avez eues pour moi. Puisse le ciel vous