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Comédie.
Scène VII.
Mylords ARTUR, BONFIL, ensuite ISAC.
Artur.
Mylord, je suis à vous.
Bonfil (appelle.)
Hola !
Artur (à part.)
Mylord est troublé. Il a bien de la peine à prendre un parti.
Isac.
Monsieur.
Bonfil.
Que l’on serve.
Artur (à Isac.)
Écoutez. (À Bonfil.) Mon cher ami, faites-moi l’amitié de mettre le comble à la faveur que vous m’avez promise. Ma cousine est passée déjà de sa terre dans la mienne ; elle m’en a prévenu, et m’a expédié un laquais, pour m’avertir qu’elle m’attend à dîner. Je me trouve obligé de partir sur le champ ; et j’espère que vous voudrez bien ne me pas laisser aller seul.
Bonfil.
Mais, est-ce bien l’heure de partir de Londres, pour aller dîner à la campagne ?
Artur.
Deux lieues sont bientôt faites. De grace, ne me refusez pas.
Bonfil.
Que vous me gênez !
Artur.
Je ne puis m’arrêter un moment.