Aller au contenu

Page:Goncourt - Hokousaï, 1896.djvu/360

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
336
l’art japonais.

C’est donc à partir peut-être des derniers mois de l’année 1795, mais bien positivement à partir du Jour de l’An de 1796, qu’il prend le nom d’Hokousaï (l’atelier du Nord) entremêlé d’autres noms.

En 1797, il signe : 1o Hishikaw Sôri ; 2o Sôri ; 3o Hokousaï Sôri.

En 1798, il signe : 1o Sôri ; 2o Hokousaï Sôri ; 3o Hokousaï.

Cette année, il donne son nom de Sôri à son élève Sôji, et il signe : Sôri changé en Hokousaï.

En 1799, il signe : Sôri changé en Hokousaï et Hokousaï.

En 1800, il signe : Hokousaï, précédemment Sôri, et Gwakiôjin Hokousaï (Hokousaï fou de dessin) pour la première fois.

La même année il signe le Coup d’œil sur les deux bords de la Soumida et le Coup d’œil sur les endroits célèbres de Yédo, et les Poésies illustrées sur les rôles des rônins, publiées en 1802 : Hokousaï Tokimasa.

En 1801, 1802, 1803, 1804, il signe : Gwakiôjin Hokousaï (Hokousaï fou de dessin).

Il y a vers ce temps des estampes signées de lui Kakô, signature qu’il a mise au bas de sa prose, signant Tokitaro Kakô la Tactiques du général Fourneau et autres livres jaunes.