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Page:Goncourt - Hokousaï, 1896.djvu/368

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l’art japonais.

cueil de planches en couleur, publiées en 1815.

Sôjï, qui signa successivement Tawaraya, Hishikawa, et en 1799 Sôri, le nom qu’avait porté un moment son maître, et qu’il lui abandonna. Il est célèbre par ses fleurs, ses oiseaux, ses paysages, dessinés à l’encre de Chine.

Hokoukaï, signant Yeisaï, Hokoutaï, et qui illustra quelques romans aux environs de 1805.

Hôtei Horkouga, un illustrateur de livres.

Kodaï, un fabricant de saké de la province de Shinano, en même temps qu’un artiste. Hokousaï resta chez lui plus d’un an.

Yanagwa Shighénobou, né vers 1778, et mort en 1832. Il signa d’abord Raïto, nom que lui donna Hokousaï, dont il devint le gendre, ayant épousé sa fille Omiyo, qui divorça, et mourut assez jeune. À la suite d’une dispute avec son maître et son beau-père, il abandonna son faire et imita Toyokouni.

Il a collaboré avec Sadahidé et Keisaï Yeisén à l’illustration de Satomi Hakkéndén, et a publié en 1821, deux albums : le Riûsén gwa-jô et le Riûsén gwa-fou.

Les autres élèves sont :

Raïshiù, — Raïsén, — Hokouga (autre que Hôtei Hokouga), — Hokoumokou, — Hokoushiû, — Hokonyén, — Hokouguiou, — Katsoushika