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Page:Goncourt - Outamaro, 1891.djvu/105

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OUTAMARO

termédiaire de la maison, et les guesha font la promenade ou le petit voyage avec vous, toujours accompagnées d’un employé de la maison de thé et d’un ou de deux porteurs de boîtes de l’instrument de musique à trois cordes, appelé schamisen.

Une recommandation curieuse. Les taïkomati et les guesha, se trouvant dans les appartements des courtisanes, leur doivent le respect qu’un serviteur doit au maître, car il est de rigueur que les grandes courtisanes soient traitées comme des princesses.