Page:Gottis - Le Jeune Loys, prince des francs ou Malheurs d'une auguste famille, Tome IV, 1817.djvu/281

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pardonne aux Francs… » Sa voix s’éteignit, la pâleur de la mort couvrit sa figure charmante… Loys n’était plus ! Son ame pure était déjà dans les régions célestes.




FIN DU 4e ET DERNIER VOLUME.