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pourceaux, la populace s’éleva contre moi… On gagna votre père, et je me vis exilé de ses états. Je parcourus long-temps les treize provinces… Je ne trouvai point de quoi m’occuper : j’en partis, et j’arrivai à Golconde où je fis bientôt des connoissances utiles. J’y rencontrai plusieurs de mes concitoyens. Nous résolûmes de ne point adopter la religion du pays, qui n’a pour objet de son culte que quelques racines plus ou moins bienfaisantes à l’homme. On nous regarda bientôt comme des innovateurs et des frondeurs dangereux de la religion fondamentale du royaume… On rendit un arrêt qui nous ordonnoit d’abjurer nos opinions, ou de