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Page:Gouraud d’Ablancourt - Madame la Duchesse d’Alençon intime, 1911.djvu/184

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170 LA DUCHESSE D’ALENÇON dominicain qui aussi dira les dernières ■prières dans le caveau. « Je désire, si cela est possible, être enterrée selon le rite dominicain, et je prie mon mari de réserver des places dans la chapelle pour les Fraternités de Saint Honoré et de Saint Jacques, et pour tous les membres de la famille dominicaine qui voudront assister à mon enterrement.https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Page:Gouraud_d%E2%80%99Ablancourt_-_Madame_la_Duchesse_d%E2%80%99Alen%C3%A7on_intime,_1911.djvu/185&action=edit&redlink=1 Sophie-Charlotte Duchesse d’Alençon Mentelberg, 4 Octobre 1896. II La consternation régnait dans Paris, orv courait les uns chez les autres pour avoir des nouvelles, on assiégeait les bureaux télégraphiques pour envoyer des dépêches aux parents de province qui s’affolaient. Monseigneur le Duc d’Alençon blessé, se réfugiait au pied de la croix, ses enfants étaient venus le rejoindre et mêlaient aux siennes leurs prières et leurs larmes. On se remémorait tous les derniers actes