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Page:Gouraud d’Ablancourt - Madame la Duchesse d’Alençon intime, 1911.djvu/60

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cette dernière ville pour mettre sa fille au couvent du Sacré-Cœur. Fidèle aux principes de la famille, Son Altesse Royale voulut que l’enfant connût la vie scolaire et se fît en retour connaître et aimer de ses compagnes, ce qui ne fut pas difficile. Nombre de jeunes personnes du Berry s’honorent d’avoir passé quelque temps sur les mêmes bancs que la Princesse Louise qui, en toutes circonstances, lorsqu’Elle les rencontre, se plaît à être la première à leur rappeler ce souvenir d’autrefois.