Page:Gourmont - Divertissements, 1912.djvu/146

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Tout ruisselant encore des eaux de Simoïs,
Et son corps étonné frissonne et se résigne

A ne caresser que le plumage d’un cygne.